‘‘… mais c’était parti tout simplement du constat, le début d’une mission. Nous ne pouvions pas penser mieux lorsque nous nous sommes situés à l’orée de la volonté du président déçus par sa presse nationale’’. Ce sont là les propos de Philippe MVOUO, président du Conseil Supérieur de la Liberté de Communication, initiateur de la deuxième édition des assises de la presse congolaise, visiblement ravi par l’aboutissement heureux des travaux et la qualité des recommandations formulées.