Le mois de Mars poursuit sa panoplie d’activités qui place la Femme, force motrice, au cœur de toutes les préoccupations. Le 12 mars à Brazzaville, la Directrice Générale de Clavis Atlas Institut, Flavie Lombo a invité au sein de son établissement, un panel de femmes engagées pour échanger sur les thématiques liées à l’entrepreneuriat féminin et le changement climatique.
La conférence-débat organisée sur le thème « Femme, Climat et Avenir Durable » a pour but de révéler à la société congolaise et de porter à l’oreille des autorités compétences, les nombreux méfaits qui empêchent l’épanouissement complet de la femme dans le monde de l’entrepreneuriat. Ajouter à cela, les comportements déviants et autres nouvelles formes de lotissement, qui contribuent dangereusement à la dégradation du climat.
Elle a également connu la participation d’hommes aguerris dans le domaine de la sauvegarde de l’environnement. Aussi, experts et sachant dans l’évolution de la législature autour des Droits de la femme et la préservation du climat au plan international.
Ces éminents orateurs ont tous affirmé qu’en République du Congo, en rapport avec ces multiples conventions, les lois sont établies en faveur de la femme et du climat. Il reste désormais aux femmes de s’en approprier pour s’affirmer dans la société. « Nous ne sommes que deux sur terre, point n’est besoin de se mener la guerre. L’homme et la femme sont complémentaire »
Concernant la pertinence des exposés, l’assistance composée essentiellement d’étudiants et professionnels se formant et exerçant dans différents secteurs (formel et informel) a été édifiée sur les difficultés des femmes qui entreprennent.
L’exercice a été mené par Ebina Ekambi Ibata, conseillère technique en charge de l’entrepreneuriat féminin. Entre autres faits, elle constate que l’administration congolaise en termes de création d’entreprise, handicape la femme à faible ressources financières, aggravée par la difficulté d’accès aux crédits.
Elle dénonce, l’abus sexuel qu’exercent les hommes influents pour toute promotion et autres privilèges. Cependant, elle affirme « La femme aujourd’hui a sa place dans l’entreprise. Un message positif pour la jeune fille. Et, l’entrepreneuriat féminin est en état de croissance malgré les difficultés à surmonter »
Abordant la question du dérèglement climatique et son impact sur l’environnement, le Docteur Architecte Karelle Koubatika, de l’ordre des architectes congolais, a pour sa part, révélé que le changement climatique aujourd’hui est la résultante de notre ignorance liée à un fait de mode aux conséquences désastreuses sur notre environnement immédiat.
Elle a démontré que la proximité des toitures en tôles Crée une forte chaleur qui réchauffe l’air et occasionne les pluies abondantes. Ces mêmes pluies causent des érosions sur les terrains non aménagés.
De même, elle s’inquiète de la perforation des forages à chaque coin de rue. Cela menace la nappe phréatique et va progressivement causer le manque d’eau à long terme.
L’oratrice a, en outre, déduit que pour notre bien-être, l’idéal serait de construire en briques cuites en lieu et place du ciment selon notre climat. « Nous vivons dans un paradis, sans le savoir nous le détruisons en utilisant des types de matériaux non-conformes à notre environnement » a-elle-confié.
Invitée d’honneur à cette conférence, la député Charlotte Opimbat qui a pris part active aux échanges, a sollicité l’indulgence de ces éminences grises de joindre leur savoir et leurs expériences à l’effort des différentes commissions de l’Assemblée Nationale. Cela, afin d’établir une législation adaptée pour mieux accompagner l’entrepreneuriat féminin et garantir la préservation de l’environnement eu égard du réchauffement climatique qui par des gestes verts et une urbanisation soumise aux règles strictes de développement durable.
Tout compte fait, l’occasion n’est pas la dernière a souligné la promotrice de Clavis Atlas qui avoue « pour moi, on ne peut pas restreindre l’action des femmes en l’espace d’un mois » avant de conclure « Nous revendiquons parce que nous n’avions pas encore obtenu tous nos droits. Certes, l’homme est un être exceptionnel par son unique intelligence, mais la femme est un être établi par ses multiples facultés. Alors, je me dis ce combat est- ce le notre ou le débat est juste déplacé ? »
 a été édifiée sur les difficultés des femmes qui entreprennent.L’exercice a été mené par Ebina Ekambi Ibata, conseillère technique en charge de l’entrepreneuriat féminin. Entre autres faits, elle constate que l’administration congolaise en termes de création d’entreprise, handicape la femme à faible ressources financières, aggravée par la difficulté d’accès aux crédits.Elle dénonce, l’abus sexuel qu’exercent les hommes influents pour toute promotion et autres privilèges. Cependant, elle affirme « La femme aujourd’hui a sa place dans l’entreprise. Un message positif pour la jeune fille. Et, l'entrepreneuriat féminin est en état de croissance malgré les difficultés à surmonter »Abordant la question du dérèglement climatique et son impact sur l’environnement, le Docteur Architecte Karelle koubatika, de l’ordre des architectes congolais, a pour sa part, révélé que le changement climatique aujourd’hui est la résultante de notre ignorance liée à un fait de mode aux conséquences désastreuses sur notre environnement immédiat.Elle a démontré que la proximité des toitures en tôles Crée une forte chaleur qui réchauffe l’air et occasionne les pluies abondantes. Ces mêmes pluies causent des érosions sur les terrains non aménagés. De même, elle s’inquiète de la perforation des forages à chaque coin de rue. Cela menace la nappe phréatique et va progressivement causer le manque d’eau à long terme. L’oratrice a, en outre, déduit que pour notre bien-être, l’idéal serait de construire en briques cuites en lieu et place du ciment selon notre climat. « Nous vivons dans un paradis, sans le savoir nous le détruisons en utilisant des types de matériaux non-conformes à notre environnement » a-elle-confié.Invitée d’honneur à cette conférence, la député Charlotte Opimbat qui a pris part active aux échanges, a sollicité l’indulgence de ces éminences grises de joindre leur savoir et leurs expériences à l’effort des différentes commissions de l’Assemblée Nationale. Cela, afin d’établir une législation adaptée pour mieux accompagner l’entrepreneuriat féminin et garantir la préservation de l’environnement eu égard du réchauffement climatique qui par des gestes verts et une urbanisation soumise aux règles strictes de développement durable.Tout compte fait, l’occasion n’est pas la dernière a souligné la promotrice de Clovis Atlas qui avoue « pour moi, on ne peut pas restreindre l’action des femmes en l’espace d’un mois » avant de conclure « Nous revendiquons parce que nous n’avions pas encore obtenu tous nos droits. Certes, l’homme est un être exceptionnel par son unique intelligence, mais la femme est un être établi par ses multiples facultés. Alors, je me dis ce combat est- ce le notre ou le débat est juste déplacé ? »){kind=link}