Les Présidents Denis Sassou N’Guesso du Congo et Antoine Félix Tshisekedi Mulumba de la RDC ont signé le 06 décembre, la déclaration conjointe de l’accord bipartite sur la collaboration énergétique entre les deux pays à Brazzaville.
Cette déclaration conjointe a été ponctuée par la signature d’un nouvel accord entre la République du Congo et la République Démocratique du Congo (RDC), en vue de créer un boulevard énergétique dénommé : La boucle de l’amitié énergétique. Paraphé entre autres par le ministre congolais des hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua et le ministre des ressources hydrauliques et de l’électricité, Olivier Mwenze Mukalengo de la RDC.
Ce vaste projet qui s’exécutera en 5 ans avec l’expertise de la société italienne ENI et l’appui financier de plusieurs partenaires dont les Emirats Arabes Unis nécessite une bagatelle d’environ 3 milliards de dollars US.
Tout ceci dans le but d’augmenter la production et la qualité du courant électrique pour booster le secteur de l’énergie et relancer à terme l’économie des deux Congo.
Il s’agit en clair, de rétablir l’équilibre macroéconomique et la création d’emplois directs et indirects pour le bien-être des populations.
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De manière pratique, cette ‘‘Boucle de l’amitié énergétique’’ partira de la centrale à gaz de Pointe-Noire au Congo vers les villes de Inga et Kinshasa en RDC, avant de revenir sur Brazzaville et de là, vers toutes les localités du Congo jusqu’aux frontières du Cameroun. Avec une possibilité de connecter aussi le Cabinda en Angola.
Cela exige une nouvelle architecture énergétique faite de nouvelles lignes de transport électrique à haute tension pour une énergie stable et efficiente. Sans oublier l’amélioration des circuits de distribution.
L’on parle d’une production graduelle de 484 Mégawatts à 700 mégawatts, puis 1.000 Mégawatts d’alimentation électrique additionnels.
Il sied de noter que 600 millions des populations en Afrique n’ont pas accès à l’électricité. Face à cela, la volonté des Présidents Denis Sassou N’Guesso le et Antoine Félix Tshisekedi est d’écouler cette grande production énergétique vers d’autres pays de la sous-région.
, en vue de créer un boulevard énergétique dénommé : La boucle de l’amitié énergétique. Paraphé entre autres par le ministre congolais des hydrocarbures, Jean Richard Itoua et le ministre des ressources hydrauliques et de l’électricité, Olivier Mwenze Mukalengo de la RDC.Ce vaste projet qui s’exécutera en 5 ans avec l’expertise de la société italienne ENI et l’appui financier de plusieurs partenaires dont les Emirats Arabes Unis nécessite une bagatelle d’environ 3 milliards de dollars US.Tout ceci dans le but d’augmenter la production et la qualité du courant électrique pour booster le secteur de l’énergie et relancer à terme l’économie des deux Congo.Il s’agit en clair, de rétablir l’équilibre macroéconomique et la création d’emplois directs et indirects pour le bien-être des populations.De manière pratique, cette ‘‘Boucle de l’amitié énergétique’’ partira de la centrale à gaz de Pointe-Noire au Congo vers les villes de Inga et Kinshasa en RDC, avant de revenir sur Brazzaville et de là, vers toutes les localités du Congo jusqu’aux frontières du Cameroun. Avec une possibilité de connecter aussi le Cabinda en Angola. Cela exige une nouvelle architecture énergétique faite de nouvelles lignes de transport électrique à haute tension pour une énergie stable et efficiente. Sans oublier l’amélioration des circuits de distribution.L’on parle d’une production graduelle de 484 Mégawatts à 700 mégawatts, puis 1.000 Mégawatts d’alimentation électrique additionnels. Il sied de noter que 600 millions des populations en Afrique n’ont pas accès à l’électricité. Face à cela, la volonté des Présidents Denis Sassou et Antoine Félix Tshissekedi est d’écouler cette grande production énergétique vers d’autres pays de la sous-région.){kind=link}