Les travaux de la troisième session du Comité interministériel pour l’amélioration du climat des affaires (CIACA) au Congo a débuté le 9 mai 2023 à Brazzaville. Objectif, élaborer des reformes, diagnostiquer les forces et faiblesses qui minent l’environnement des affaires en vue d’une nette amélioration de la promotion et la sécurisation des investissements.
Placé sous la coordination du Directeur de cabinet du ministère du développement industriel et de la promotion du secteur privé, Alphonse PEPA, ces travaux centrés autour des thématiques portant sur le commerce transfrontalier et l’insolvabilité, les experts, cadres et agents des ministères, du comité interministériel pour l’amélioration du climat des affaires (CIACA) et du Comité national de concertation (CNC), vont pendant trois jours collecter, analyser et préparer des textes de reformes qui seront transmis au premier ministre chef du gouvernement Anathole Collinet MAKOSSO.
« Nous avons voulu aussi regarder tout ce qui touche au commerce intérieur, au paiement des impôts et taxes, à la parafiscalité afin d’assainir le climat des affaires», a précisé Urbain Ndzonza, secrétaire permanent adjoint du CNC.

Visant également l’harmonisation, la collecte des informations relatives à chaque indicateurs du rapport « Doing Busness » de la Banque Mondiale afin d’accompagner les investisseurs pour la croissance du monde des affaires en république du Congo.
Cette rencontre interministérielle est une complémentarité d’expertises, de coordination et de recherche des solutions pour favoriser l’intégration et facilité l’arrivée des investissements pour une relance économique d’une part et de la synergie d’idée pour le développement du secteur public-privé.
Créé en 2017 en remplacement du Haut conseil du dialogue public-privé, le CIACA est constitué de dix groupes de travail qui ont pour mission d’observer, diagnostiquer et émettre des recommandation pour mener à bien cette lourde charge dont la croissance économique, la recherche des partenaires ou investisseurs, la création des entreprise et la réduction des couts en matière de fiscalité cadrant respectivement aux normes du « Broing Busness »