Le secrétariat permanent du Comité National de Concertation (CNC) a débuté avec les séances de travail auprès de différents partenaires. Objectif, pérenniser l’irréversible dialogue entre les administrations publiques et le secteur privé en vue d’améliorer le climat des affaires au Congo.
Après une séance de travail avec le Directeur national de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale ( BEAC) pour un partenariat des échanges d’informations sur le dialogue public-privé et les informations sur les secteurs ou sous-secteurs des comités techniques du CNC le lundi 10 juillet 2023 à Brazzaville, c’est par visio-conférence qu’a débuté les travaux entre le Comité National de Concertation (CNC), le Comité de Concertation Etat/Secteur Privé (CCEP) de la Côte-d’Ivoire et le Secrétariat Général du Dialogue Public-Privé ( SGDPP) du Burkina Faso, le 12 juillet 2023 en matinée. Par la suite, le CNC a poursuivi ses échanges avec le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD).
S’inscrivant dans le cadre de la mutualisation des compétences et expériences avec les différents partenaires, le CNC a fait le tour des institutions comme : le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), la Banque des Etats d’Afriques Centrale (BEAC), la Banque Africaine de développement (BAD), la Banque Mondiale ( BM) et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (FAO) afin de relever le niveau économique de la sous-région par le dialogue.
Pour Guy Gervais BOUANGA, secrétaire permanant du CNC « la mise en place d’un réseau de points focaux, d’analyse des compétitivités et de sélection des activités sont une évidence pour développer des outils d’opérationnalisation plus rentables et fiables».
Appréciant le dynamisme et la qualité de ce partenariat notamment sur des questions d’ordre structurel, « La problématique du dialogue entre le secteur public-privé est un élément essentiel pour relancer les économies. Car sans cette collaboration, il est difficile d’être compétitif », a indiqué Henry René DIOP, représentant résident adjoint du PNUD au Congo.
L’objectif majeur de ces travaux vise principalement à recréer un climat de confiance entre les administrations publiques et le secteur privé, levier incontournable du développement économique.
 a débuté avec des séances de travail auprès des différents partenaires. Objectif, pérenniser le dialogue et la concertation public-privées dans un premier temps et dans deuxième temps l’importance du dialogue ou concertation entre le secteur privé et le secteur public dans le cadre de l’amélioration du climat des affaires.Après une séance de travail avec le gouverneur national de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale ( BEAC) pour un partenariat des échanges d’informations sur le dialogue public-privé et les informations sur les secteurs ou sous-secteurs des comités techniques du CNC le lundi 10 juillet 2023 à Brazzaville, c’est par visio-conférence qu’a débuté les travaux entre le Comité National de Concertation (CNC), le Comité de Concertation Etat/Secteur Privé (CCEP) de la Côte-d’Ivoire et le Secrétariat Général du Dialogue Public Privé ( SGDPP) du Burkina Faso le 12 juillet 2023 en matinée. Et les après-midi le CNC a échangé avec le Programme des Nations-Unis pour le développement (PNUD). S’inscrivant dans le cadre de la mutualisation des compétences et expériences avec les différents partenaire, le CNC a fait le tour des institutions comme : le Programme des Nations-Unis pour le développement (PNUD), la Banque des Etats d’Afriques Centrale (BAEC), la Banque Africaine de développement (BAD), la Banque Mondiale ( BAD) et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (FAO), afin d’épingler les maux qui minent l’écosystème économique et échanger sur les pistes de solution au niveau de le sous-région en générale et du Congo en particulier.Pour Guy Gervais BOUANGA, secrétaire permanant du CNC « la mise en place d’un réseau de points focaux, d’analyse en compétitivités et de sélection des activité est une évidence afin de développer des outils d’opérationnalisations pour être beaucoup plus rentables et fiable». Appréciant le dynamisme sur la qualité de ce partenariat notamment sur des questions d’ordres structurelles, « La problématique du dialogue entre le secteur public-privé est un élément essentiel pour relancer les économies car sans collaboration il est difficile d’être compétitif », a indiqué Henry René DIOP, représentant résident adjoint du PNUD. L’objectif majeur de ces travaux vise entre autre à remettre un climat de dialogue et de confiance entre les administrations publique-privées, les investisseurs, les entrepreneurs, les institutions nationales ou internationales, la société civile et autres acteurs du secteur qui contribuent au développement économique.){kind=link}