” Égalité maintenant ” c’est par cette thématique qu’à été célébrée le 1er décembre 2022, la journée mondiale de lutte contre le sida.
Une journée toute indiquée pour accentuer des réflexions centrées autour des inégalités et discrimination auxquelles font face les personnes atteintes de cette pandémie.
A l’échelle mondiale, 70% des nouvelles infections concernent les personnes marginalisées et mal informées sur ce fléau.
Selon l’OMS, les adolescents et les jeunes femmes sont trois fois plus exposés à la contamination, notamment en milieux scolaires, dans les zones périphériques ou défavorisées en raison d’une faible connaissance du virus et ses ravages.
Cependant, 52% d’enfants vivants avec le VIH reçoivent un traitement salvateur. Pour le secrétaire général de L’ONU, António Guterres, « les inégalités qui font perdurer la pandémie peuvent et doivent être abolies à l’horizon 2030. »
D’après lui ce slogan « c’est un appel à l’action. Une initiative a prendre les mesures concrètes qui aideront à faire disparaître le sida. »
Dans le même ordre d’idée, la directrice exécutif de L’ONU sida, Winnie Byanyima, reconnaît que « dans le monde, plus de 40 millions de vies perdues à cause du sida. C’est aussi le moment de faire le point sur la riposte et nous engager à mettre fin à cette pandémie. »
Ainsi pour remédier efficacement à ce problème, des mesures de riposte devraient être le centre d’intérêt des gouvernements en partenariat avec les structures étatiques et non étatiques dans l’accompagnement, la sensibilisation et la conscientisation face à cette grande destructrice.
En effet, ce rythme de contamination peut être baissé si et seulement si, les gens prenaient véritablement conscience de l’existence de cette maladie à travers des programmes d’éducation sexuelle dans les écoles et en milieux rural. Car selon les estimations, les jeunes filles sont trois fois plus exposé que les hommes du même âge, indique l’OMS.
