L’un des deux présumés trafiquants a été pris, ce 31 mai à Brazzaville, en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation de deux pointes d’ivoire sectionnées en quatre morceaux, représentant un (1) éléphant tué. Le complice lui, a été rattrapé quelques heures après dans la même ville.
L’interpellation de ces deux présumés délinquants fauniques a été réalisée conjointement par les agents de la Direction Départementale de l’Economie Forestière et les éléments de la Région de Gendarmerie de Brazzaville avec l’appui technique du PALF (Projet d’Appui à l’Application de la Loi sur la Faune Sauvage). Ces individus seraient dans un réseau des trafiquants de produits de faune.
Les pointes d’ivoire saisies proviendraient du village Nkola dans le Département du Kouilou. Ces pointes d’ivoire ont été transportés de ce village précité pour Brazzaville par l’un des deux prévenus pour être commercialisé. D’autres présumés délinquants faunique impliqués dans cette affaire seraient encore en cavale.
La détention, circulation et tentative de commercialisation des pointes d’ivoire sont les faits qui leur sont reprochés. Ces derniers, répondront de leurs actes devant la justice congolaise.
Ils risquent des peines allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement ferme ainsi qu’une amende pouvant atteindre 5 millions de FCFA conformément à la loi.
Le trafic des produits de faune conduit à l’extinction et à la disparition progressive des espèces animales sauvages et surtout celles intégralement protégées. Le Congo, reste vigilant et sanctionne ceux qui entravent la loi en matière de protection de la faune sauvage. « A tous ceux-là qui s’obstinent dans l’abatage, la commercialisation et la circulation d’animaux protégés d’arrêter. Ils nous trouveront sur leur chemin. Nous allons les traquer jusqu’à leur dernier retranchement » a déclaré le colonel des Eaux et Forêts Joseph MOUMBOUILOU, Directeur Générale de l’Economie Forestière.
En rappel, le 05 mai dernier à Pointe Noire, deux présumés délinquants fauniques avaient été pris en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation d’une peau de panthère et de sept (7) pointes d’ivoire sectionnées en plusieurs morceaux, représentant quatre
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(4) éléphants massacrés. Le procès portant sur cette affaire est en cours au Tribunal de Grande Instance de Pointe Noire.
L’article 27 de la loi 37/2008 du 28 novembre 2008 en République du Congo en matière de protection des espèces fauniques stipule : « l’importation ; l’exportation ; la détention et le transit sur le territoire national des espèces intégralement protégées ; ainsi que de leurs trophées sont strictement interdits ; sauf dérogation spéciale de l’administration des eaux et forêts ; pour les besoins de la recherche scientifique ».
L’un des deux présumés trafiquants a été pris, ce 31 mai à Brazzaville, en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation de deux pointes d’ivoire sectionnées en quatre morceaux, représentant un (1) éléphant tué. Le complice lui, a été rattrapé quelques heures après dans la même ville.
L’interpellation de ces deux présumés délinquants fauniques a été réalisée conjointement par les agents de la Direction Départementale de l’Economie Forestière et les éléments de la Région de Gendarmerie de Brazzaville avec l’appui technique du PALF (Projet d’Appui à l’Application de la Loi sur la Faune Sauvage). Ces individus seraient dans un réseau des trafiquants de produits de faune.
Les pointes d’ivoire saisies proviendraient du village Nkola dans le Département du Kouilou. Ces pointes d’ivoire ont été transportés de ce village précité pour Brazzaville par l’un des deux prévenus pour être commercialisé. D’autres présumés délinquants faunique impliqués dans cette affaire seraient encore en cavale.
La détention, circulation et tentative de commercialisation des pointes d’ivoire sont les faits qui leur sont reprochés. Ces derniers, répondront de leurs actes devant la justice congolaise.
Ils risquent des peines allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement ferme ainsi qu’une amende pouvant atteindre 5 millions de FCFA conformément à la loi.
Le trafic des produits de faune conduit à l’extinction et à la disparition progressive des espèces animales sauvages et surtout celles intégralement protégées. Le Congo, reste vigilant et sanctionne ceux qui entravent la loi en matière de protection de la faune sauvage. « A tous ceux-là qui s’obstinent dans l’abatage, la commercialisation et la circulation d’animaux protégés d’arrêter. Ils nous trouveront sur leur chemin. Nous allons les traquer jusqu’à leur dernier retranchement » a déclaré le colonel des Eaux et Forêts Joseph MOUMBOUILOU, Directeur Générale de l’Economie Forestière.
En rappel, le 05 mai dernier à Pointe Noire, deux présumés délinquants fauniques avaient été pris en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation d’une peau de panthère et de sept (7) pointes d’ivoire sectionnées en plusieurs morceaux, représentant quatre
(4) éléphants massacrés. Le procès portant sur cette affaire est en cours au Tribunal de Grande Instance de Pointe Noire.
L’article 27 de la loi 37/2008 du 28 novembre 2008 en République du Congo en matière de protection des espèces fauniques stipule : « l’importation ; l’exportation ; la détention et le transit sur le territoire national des espèces intégralement protégées ; ainsi que de leurs trophées sont strictement interdits ; sauf dérogation spéciale de l’administration des eaux et forêts ; pour les besoins de la recherche scientifique ».